Retour du WI-FI et des nouvelles après deux jours dans le
désert. Au final parti de Merzouga, après 83 kms restait le choix de l’itinéraire
ou la piste jusqu’au Bivouac. J’ai donc décidé de prendre la piste comme l’ensemble
des participants sauf 1. AU programme 150 kms de piste et de sables, le tout
sous une chaleur accablante allant jusqu’à 38°C. Les passages de sables furent
nombreux et épuisant. Surtout avec une moto de 250kg comme la GS. Cependant
tout s’est bien passé, il suffit de mettre full gaz, on pousse sur les cales
pieds en mettant ces fesses en arrière et, çà passe. De temps en temps la
technique assis en faisant le pédalo avec les pieds marche pas mal il faut avouer !!!! Au passage nous avons essuyé une tempête de
sable pendant une demi-heure. Nous sommes arrivé au bivouac vers 17h30 après il
faut le dire en avoir bien chi…r. La surprise, les marocains n’ont pas mis le
bivouac au bon endroit donc impossible pour celui qui était passé par la route
de nous rejoindre. Heureusement, il y a le téléphone arabe qui a permis de le
retrouver et à lui de nous retrouver. Il va de soi que dans un bivouac il n’y a
pas de douche donc avec la poussière, le sable, la transpiration… c’est que du
bonheur. Nous finissons par nous retrouver autour d’un petit apéro anisé avant
le repas. Nous ai annoncé un poulet frites. Pour ma part je suis content car
depuis le début c’est surtout mouton ou agneau et je n’aime pas ça. A l a fois
je le savais avant de partir qu’ils en mangent beaucoup au Maroc. Donc l’apéro
se termine et voici le repas. Les poulets frites arrivent dans un tajine
(normal on est au Maroc je vous le rappelle). En soulevant les frites pour
atteindre le poulet situé dessous, une vieille odeur de viande pas fraiche
ressort donc là, alerte générale « ne manger pas de poulet ».
Celui-ci avait dû rester bien longtemps au soleil avant de cuire nous avons pensé
et, le soleil tape fort ici. Nous finissons donc par aller nous coucher sur un
superbe ciel étoilé au milieu du désert avec en tête une question « est-ce-que
je repars pour 132km de piste demain? », réponse : « on verra
demain".
La moto et moi sans le casque enfin!!!
Le bivouac
L'état de la moto à mi-parcours, il va y avoir du nettoyage en rentrant. Ah oui j'ai un joint spie de la fourche hs donc, j'ai le blouson plein d'huile de fourche avec les compressions. A réparer en rentrant.
La moto et moi sans le casque enfin!!!
Le bivouac
L'état de la moto à mi-parcours, il va y avoir du nettoyage en rentrant. Ah oui j'ai un joint spie de la fourche hs donc, j'ai le blouson plein d'huile de fourche avec les compressions. A réparer en rentrant.
Le lendemain on quitte le bivouac vers 8h00 après une bonne
nuit. A la bifurcation ou le choix route piste s’impose, je décide de prendre
la piste avec 6 autres participants, l’organisateur et le 4X4 d’assistance.
Nous revoilà parti, il faut se remettre en condition et reprendre du rythme et
de l’attention. Un peu de passage de sable puis très vite vient une piste
roulante sur une trentaine de kilomètre. Après ça se complique, piste de
cailloux très cassante et on atteint le bord de la frontière Algérienne où, on
nous arrête, le temps de justifié notre passage dans cette zone du désert. Nous
passons donc la « douane » et abordons deux cols de pierres, marche…
très techniques qui re-débouchent sur de splendides paysages. A la fin du
deuxième col, nous nous arrêtons au bord d’un puis tenu par un nomade du désert
et repassons la « douane » à nouveau. Encore de la pierre, de « la
arriver à Tagounite, où nous dinerons avec une bonne omelette et du coca (je n’ai
jamais autant bu de coca que depuis que je suis ici) !!!, un petit banc de
sable en fin de piste.
Nous Finirons donc par arriver à l’hôtel La Pacha à Mahmid
dans lequel nous résiderons deux nuits pour s’y ressourcer après ces gros efforts.
Il fait 38°C et comme par hasard depuis une demi=heure, il n’y a plus d’eau
dans toute la ville. Tant pis, on met les maillots et on plonge à l’eau avant
une petite binouze au bar situé en bord de piscine. Maintenant farnienté tout
demain et on repartira pour un campement dans le désert.
Levé du soleil derrière les montagnes autour du bivouac
En haut du deuxième col après s'être fait cassé les bras et le dos pas les passages de montés et descente enpierrés.
Nomade du désert
Température au compteur
Levé du soleil derrière les montagnes autour du bivouac
En haut du deuxième col après s'être fait cassé les bras et le dos pas les passages de montés et descente enpierrés.
Température au compteur
Bar de l'Hôtel Le Pacha
Divers
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