Départ 6h00 le matin. Autoroute sur une centaine de
kilomètre pour enfin enchainer sur Aspet. Prise du café à Bagnères de Luchon
(avec petites viennoiseries) et départ vers Gavarnie. Passage du col d’Aspin
et, arrivée à Peyragudes déviation car route barrée avec un détour qui en valait
la peine. Passage pour le col du Tourmalet avant d’arriver au cirque de
Gavarnie.
Le temps se faisant menaçant, je décide de redescendre à Luz
pour diner.
Je repars vers 14h00 et arrivé à Arrens Marsous, la route du col de Soro est fermée pour l’accès
au col de l’Aubisque que j’avais
prévu d’emprunter. Je tente de faire une première déviation d’un vingtaine de
kilomètre sans succès car je ré-atérit au Aucun (à côté d’Arrens).
Du coup, je demande à une personne
locale : « Comment rejoindre le col de l’Aubisque ».
Il me dit : « C’est un peu le
problème ! » (La route est fermée depuis le 1er juin
jusqu’au 16 Juin de 8h00 à 18h00). A ce moment là je suis dégouté.
Puis il reprend : « Vu que vous êtes en
Trail, je vais vous indiquer une route qui va vous plaire. Vous avez le
temps ? »
Je répond : « Oui »
Donc : « Vous montez par le col de Couraduque.
Arrivé en haut, vous prenez la piste qui descend…. »
Moi dans ma tête : « Une piste J J J »
Je le remercie et en haut du col prend non pas la piste qui
descend mais celle qui monte donc, au bout d’une dizaine de kilomètres un
panneau interdit à tous véhicule. Je fais demi-tour, prend l’autre piste,
retombe sur un route, reviens sur Aucun. Retour à la case départ. Je décide
donc de reprendre le col, la piste qui descend et au bout du chemin de prendre
à gauche et non à droite. Content de moi, je roule, roule… Un bouc tente de ma
charger dans les valises. Bref, j’ai fait un énorme détour pour arriver au
final pas loin de Lourdes. Je reboute le GPS et m’en vais vers l’Espagne sous
des trombes d’eau. J’ai ma tenue de pluie (sauf que j’ai oublié, enfin confondu
avec la veste de mon épouse, le pantalon). Enfin j’arrive à Portalet et la
pluie s’arrête et je bascule en direction de Huesca où je passerai la Nuit. Au
lieu de 480kms prévu, je suis à 600kms.
Bien installé dans mon hôtel, je décide d’y manger hors,
dans l’entrée, je me retrouve avec deux bout de plastic d’emballage dans le
plat. Ok ce n’est pas du fait maison. Quand j’en parle au serveur, il s’en fou.
Je n’insiste pas fini mon repas et vais me coucher : demain Les Bardenas.
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