samedi 3 mai 2014

De Merzouga au Bivouac en finissant par Mhamid à l’hôtel Le Pacha


Retour du WI-FI et des nouvelles après deux jours dans le désert. Au final parti de Merzouga, après 83 kms restait le choix de l’itinéraire ou la piste jusqu’au Bivouac. J’ai donc décidé de prendre la piste comme l’ensemble des participants sauf 1. AU programme 150 kms de piste et de sables, le tout sous une chaleur accablante allant jusqu’à 38°C. Les passages de sables furent nombreux et épuisant. Surtout avec une moto de 250kg comme la GS. Cependant tout s’est bien passé, il suffit de mettre full gaz, on pousse sur les cales pieds en mettant ces fesses en arrière et, çà passe. De temps en temps la technique assis en faisant le pédalo avec les pieds marche pas mal il faut avouer !!!!  Au passage nous avons essuyé une tempête de sable pendant une demi-heure. Nous sommes arrivé au bivouac vers 17h30 après il faut le dire en avoir bien chi…r. La surprise, les marocains n’ont pas mis le bivouac au bon endroit donc impossible pour celui qui était passé par la route de nous rejoindre. Heureusement, il y a le téléphone arabe qui a permis de le retrouver et à lui de nous retrouver. Il va de soi que dans un bivouac il n’y a pas de douche donc avec la poussière, le sable, la transpiration… c’est que du bonheur. Nous finissons par nous retrouver autour d’un petit apéro anisé avant le repas. Nous ai annoncé un poulet frites. Pour ma part je suis content car depuis le début c’est surtout mouton ou agneau et je n’aime pas ça. A l a fois je le savais avant de partir qu’ils en mangent beaucoup au Maroc. Donc l’apéro se termine et voici le repas. Les poulets frites arrivent dans un tajine (normal on est au Maroc je vous le rappelle). En soulevant les frites pour atteindre le poulet situé dessous, une vieille odeur de viande pas fraiche ressort donc là, alerte générale « ne manger pas de poulet ». Celui-ci avait dû rester bien longtemps au soleil avant de cuire nous avons pensé et, le soleil tape fort ici. Nous finissons donc par aller nous coucher sur un superbe ciel étoilé au milieu du désert avec en tête une question « est-ce-que je repars pour 132km de piste demain? », réponse : « on verra demain".

La moto et moi sans le casque enfin!!!

 Le bivouac




 L'état de la moto à mi-parcours, il va y avoir du nettoyage en rentrant. Ah oui j'ai un joint spie de la fourche hs donc, j'ai le blouson plein d'huile de fourche avec les compressions. A réparer en rentrant.



Le lendemain on quitte le bivouac vers 8h00 après une bonne nuit. A la bifurcation ou le choix route piste s’impose, je décide de prendre la piste avec 6 autres participants, l’organisateur et le 4X4 d’assistance. Nous revoilà parti, il faut se remettre en condition et reprendre du rythme et de l’attention. Un peu de passage de sable puis très vite vient une piste roulante sur une trentaine de kilomètre. Après ça se complique, piste de cailloux très cassante et on atteint le bord de la frontière Algérienne où, on nous arrête, le temps de justifié notre passage dans cette zone du désert. Nous passons donc la « douane » et abordons deux cols de pierres, marche… très techniques qui re-débouchent sur de splendides paysages. A la fin du deuxième col, nous nous arrêtons au bord d’un puis tenu par un nomade du désert et repassons la « douane » à nouveau. Encore de la pierre, de « la arriver à Tagounite, où nous dinerons avec une bonne omelette et du coca (je n’ai jamais autant bu de coca que depuis que je suis ici) !!!, un petit banc de sable en fin de piste.

Nous Finirons donc par arriver à l’hôtel La Pacha à Mahmid dans lequel nous résiderons deux nuits pour s’y ressourcer après ces gros efforts. Il fait 38°C et comme par hasard depuis une demi=heure, il n’y a plus d’eau dans toute la ville. Tant pis, on met les maillots et on plonge à l’eau avant une petite binouze au bar situé en bord de piscine. Maintenant farnienté tout demain et on repartira pour un campement dans le désert.

Levé du soleil derrière les montagnes autour du bivouac

En haut du deuxième col après s'être fait cassé les bras et le dos pas les passages de montés et descente enpierrés.
 Nomade du désert




Température au compteur


Bar de l'Hôtel Le Pacha


Divers
























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